La question est d’actualité depuis longtemps, mais sa réponse diffère en fonction des années. En effet, le marché immobilier est en constante évolution et ce n’est pas le seul paramètre qui entre en ligne de compte. La santé économique du pays, la mentalité des acheteurs, l’évolution sociale sont autant de critères qui jouent sur la réponse que l’on peut apporter à la question « Faut-il acheter ou louer en 2018 ? »
Comparatif des coûts
La principale question que se posent tous les futurs acheteurs ou loueurs est le coût de l’opération. Celui-ci est énormément soumis au bon-vouloir du marché immobilier qui connait de fortes évolutions ces dernières années. Celles-ci s’observent chez des professionnels de la vente ou la location à Colmar ou ailleurs en France.
On regarde notamment une donnée très importante qui est la durée qu’il faut pour rentabiliser, amortir les coûts d’un achat. Cette durée est très différente en fonction Des d’endroits et des situations, mais l’on sait qu’il faut en moyenne plus de 10 ans.
De fausses idées circulent aussi beaucoup parmi les particuliers qui espèrent faire une belle plus-value sur leur bien. Oui les prix augmentent chaque année, mais cette augmentation n’est pas forcément suffisante pour pallier aux coûts annexes que l’on doit payer lors d’un achat : notaire, agence, entretien, rénovation, etc.
Inscription dans un projet à long terme
Ce qui a aussi grandement évolué ces dernières décennies c’est la société en elle-même. Là où pouvait s’imaginer habiter au même endroit toute leur vie, les familles contemporaines doivent se montrer plus flexibles notamment vis-à-vis du marché du travail. Cela peut impliquer un déménagement tous les 10 ans. Difficile donc d’investir dans un bien qui peut mettre plusieurs décennies à se rentabiliser.
Les mœurs aussi ne sont plus les mêmes. La sociologie nous montre que les couples ne sont plus le même qu’il y a quelques années. Famille recomposée, divorces, il est devenu bien difficile de se projeter dans le futur.
C’est pourquoi la location est fortement recommandée. Le travail en est une des raisons. Il faut se montrer flexible et vendre un bien à la hâte est bien la meilleure solution pour perdre énormément d’argent. De plus, le premier bien est souvent plus petit que les suivants. Les particuliers qui pensent à acheter petit en pariant sur la plus-value pour ensuite acheter plus gros se trompent. En effet, le marché immobilier nous montre qu’un petit bien se rentabilise souvent bien plus lentement qu’un bien plus gros.